13 et 15 Décembre 2016
Genre : Contes et marionnettes
Lieu : Salle des Fêtes
Public : Scolaires uniquement (Élèves des deux écoles de Cléguérec)
Durée : 00h45
Tarif : Pris en charge par le Centre Culturel et la Commune de Cléguérec
Dans le cadre de la programmation Mil-Tamm du Pays de Pontivy
Par la Compagnie « Bouffou Théâtre » (Hennebont, 56)
Écrit et mis en scène par Serge Boulier.
Plus d’informations sur le spectacle
Malheur dans la famille de Mergerac, le prince est né sans nez !
Indigne de la lignée royale, l’héritier est abandonné dans les bois. Il grandit parmi les animaux, rencontre une princesse et décide, au nom de l’amour, de partir à la recherche du précieux appendice.
En route, il trouve deux menuisiers doués mais un peu sots qui rêvent eux aussi d’être aimés au-delà de leurs différences.
Et dans cet univers de bois tendre, l’âme de BYNOCCHIO trotte sur des copeaux d’humour…
LA PRESSE EN PARLE
• «Dans ce spectacle tout est confusion, mélange des Dans ce spectacle tout est confusion, mélange des genres. Et c’est ce qui en fait l’originalité et l’attrait. Un savant dosage de poésie, de dérision et de doux délire qui se déguste avec délice… et de doux délire qui se déguste avec délice…» La Montagne – Mars 1995
• «On reste pantois devant tant d’ingéniosité, de simplicité, de prouesses techniques. […] Le spectacle té, de prouesses techniques. […] Le spectacle se résume en un mot, c’est un ravissement se résume en un mot, c’est un ravissement» Le Progrès 21/03/96
• «Un spectacle qui aborde avec beaucoup de tact le thème de la différence. » Le Progrès – Février 1996
• «Un décor pour le moins déroutant. […] Spectacle imprévisible, plein de poésie et d’humour… » Le Télégramme 04/12/96
• «Quand le décor se résume à un atelier de menuiserie et que deux tendres fous donnent vie aux marionnettes, tout est possible. Surtout la joie. » Ouest-France 04/12/96
• «Un spectacle tout en finesse, en intelligence, en humour, bref en vraie grandeur.» Tarbes 27/01/97
• «Le Bouffou Théâtre a placé la barre haut. Mais il a eu raison!» Rombas 21/03/97