Conception, mise en scène et interprétation : Benoit Schwartz, Compagnie La Bao Acou
» Il était une fois La Princesse de Clèves, la cour du roi Henri II et de Catherine de Médicis… Des êtres dont le cœur, le corps et l’esprit étaient livrés à chaque instant du jour, à chaque heure de la nuit, aux passions et aux intrigues, à l’amour et aux plaisirs, aux charmes et à la séduction. »
L’histoire de la Princesse de Clèves nous est racontée ici au moment du repas. Dans cet instant, il existe une fragilité, une ouverture, une détente, propice à recevoir ce drame où la psychologie et les mouvements de l’âme sont si bien décrits.
Le nombre de places étant limité, réservez vos place auprès du Centre Culturel ( 02 97 38 15 99 ) ou du Pays de Pontivy ( 02 97 27 86 66 )
Les personnes n’ayant pas réservé ne pourront pas assister au spectacle.
Tarifs : 18 € (spectacle / dîner)
La presse en parle…
LIBÉRATION / Bruno Masi
« … Le pari est plus que risqué : le roman de Mme de Lafayette est sans doute l’un des plus austères et complexes de la littérature classique. Benoit Schwartz s’en acquitte avec le talent d’un conteur qui sait ou il met les pieds, sans fioriture… »
La Montagne – 14 décembre 08
« Gourmets de mots et de mets ont savouré pleinement, au théâtre de Cusset, les raffinements épiques ou sucrés de la Princesse de Clèves. Intrigués, les invités entrent en scène. Leur hôte, Benoit Schwartz, les met à l’aise avec délicatesse autour d’une table dressée. Le comédien esquisse cette cour sous Henri II où frayaient de belles personnes et des hommes bien faits » où coulaient les plaisirs de la chair et du palais. Ce récit baroque, un régal d’éloquence, a laissé ensuite la place à d’autres saveurs. Celles des mets et des boissons conçus dans l’esprit de l’époque et confectionnés par la brigade des cuisines royales de Cusset. »
Le Trégor – Christophe Ganne – 9 octobre 2008
« Le décor était somptueux. Le château de la Roche Jagu. (…) Cinquante spectateurs ou plutôt convives autour d’une table, celle de Catherine de Médicis. Le repas est servi tandis que le texte de la Princesse de Clèves croise quelques anecdotes historiques dans la bouche de l’acteur. B.S. est à l’aise dans les formes atypiques de représentations théâtrales. Toujours très proche de son public. »
Neuilly Journal Indépendant – janvier 2004
« … Entendre autour d’une table d’une élégance étrangement baroque ce conte où la psychologie et les mouvements d’âme sont si bien décrits est un véritable régal. »
Villeneuve le Comte – bulletin- janvier 2003
« Benoit Schwartz… a convié les spectateurs autour d’une table dressée, style baroque, avec effets de lumières diffuses et parfum de fleurs d’oranger. Il a placé les personnages… qui ont incarné sans jouer, les acteurs de l’histoire qui nous a emportés 400 ans en arrière. La reconstitution a été jusqu’au repas que Benoit a préparé : terrine de lapin, jambon cuit au miel, fruits pochés au sirop épicé, hypocras et infusion… »
Le pays briard – 10 décembre 2002
« On a joué dans la cour des grands (…) Benoit Schwartz fait vivre à ses hôtes le cheminement de la passion amoureuse de cette héroïne et les ravages qu’elle entraîne. Il émaille son discours de digressions amusantes sur les lointaines origines d’expressions françaises. Un genre de trou normand… le dîner suit et chacun redevient lui-même… En passant le pont-levis pour rejoindre sa gentilhommière, une gente dame se disait ravie de cette soirée » où je me suis presque sentie en famille… Une ambiance sympathique, inhabituelle, bizarre… Tout le monde jouait le jeu… Une soirée extra ! ». »